Médaille clown acteur Marcel Marceau Mime incarant Bip artsite actor 1982 medal

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Médaille en bronze de la Monnaie de Paris (Poinçon corne à partir de 1880) Frappée en 1981  . Bel exemplaire  . Artiste / Sculpteur : Jacques Martin . Dimension : 68 mm. Poids : 205 g Métal : Bronze  . Poinçon sur la tranche (mark on the edge) : Corne d'abondance + bronze + 1981 . Envoi rapide et soigné. Le support n'est pas à vendre . The stand is not for sell . Marcel Marceau, dit le mime Marceau, nom de scène de Marcel Mangel, est un mime et acteur français, né le 22 mars 1923 à Strasbourg et mort le 22 septembre 2007 à Cahors. Il a connu une célébrité internationale avec son personnage silencieux de Bip, créé en 1947. Né à Strasbourg (Bas-Rhin), il est le second fils de Charles Mangel (né le 27 juillet 1895 à Będzin, dans le sud de la Pologne), un boucher casher1 qui aurait aimé être chanteur, et d'Anna Werzberg, une mère passionnée par les livres2. En 1926, la famille part s'installer à Lille pour des raisons professionnelles. À cette époque, sa tante Fanny, sœur de son père, lui fait découvrir l'univers du cinéma et les films de Charlie Chaplin. L'influence du personnage de Charlot sur le jeune Marcel est immense et ne le quittera plus durant toute sa vie. Son père baryton l'emmène fréquemment à l'opéra ou à la boxe. Partageant son enfance entre deux régions, la famille retourne vivre à Strasbourg où, jusqu'en 1938, Marcel fait ses études au lycée Fustel-de-Coulanges où, pendant l’année scolaire 1938-1939, il a comme camarade Germain Muller, qui, le 27 mars 1990, lui remettra un Bretzel d'or3. L'évacuation de 1939 les sépare. Ils ne se retrouveront qu’après la guerre. Selon son professeur de français4, il était le meilleur élève en récitation et en poésie. Sa famille d'origine juive polonaise est évacuée comme le reste de la population strasbourgeoise au début de la Seconde Guerre mondiale. Elle part pour Périgueux, et Marcel poursuit ses études au lycée Gay-Lussac de Limoges. Le proviseur de ce lycée, Joseph Storck, un Juste parmi les Nations, protège les élèves juifs. Marcel Mangel est moniteur de théâtre à Montintin (Haute-Vienne) et à la maison d'enfants du couple Hagnauer à Sèvres, un internat qui cachait des dizaines d'enfants juifs, où il est connu sous son nom de totem : « Kangourou »5. Yvonne Hagnaeur recevra le titre de Juste parmi les Nations en 1974. Le père de Marcel Mangel est déporté depuis la gare de Bobigny dans le convoi n° 69 du 7 mars 19446 et meurt à Auschwitz. Sous l'influence de son cousin germain Georges Loinger et de son frère Simon Mangel, Marcel rejoint la Résistance en 1942 à Limoges. Il prend alors le pseudonyme de Marceau. Il raconte l'avoir « pris dans la Résistance à cause du vers de Victor Hugo, dans Les Châtiments : « Joubert sur l'Adige/ Marceau sur le Rhin ». J'étais né dans le Bas-Rhin et je voulais bouter les Allemands hors de France »7. À la Libération, il s'engage dans la Première armée et fait la campagne d'Allemagne8. Le mime : « Je serai mime ou rien » Marcel Marceau en 1962. Après avoir fréquenté l’École nationale des arts décoratifs de Limoges, qui lui laisse le goût du dessin et de la peinture, Marcel Marceau devient l’élève de Charles Dullin, de Jean-Louis Barrault et d’Étienne Decroux qui établit la « grammaire » de l’art du mime qu’il appelait la « statuaire mobile ». C'est parce qu'il a une voix de gorge, sourde, voilée, très handicapante pour son futur métier de comédien qu'il décide de devenir mime9. Pour Marcel Marceau, l'art du mime puise sa force poétique dans cet engagement de tout le corps pour donner forme à l'invisible, créer la métaphore au travers des gestes et du regard. Au théâtre de Poche Montparnasse, le 22 mars 1947, jour du 24e anniversaire de l’artiste, sort de l’ombre des coulisses un drôle de personnage, pierrot lunaire, « hurluberlu blafard » à l’œil charbonneux et à la bouche déchirée d’un trait rouge, un drôle de haut-de-forme sur la tête, une fleur rouge tremblotante servant de panache à ce Don Quichotte dégingandé en lutte contre les moulins à vent de l’existence : « Bip » était né, aussi indissociable de Marceau que Charlot de Chaplin. « La parole n'est pas nécessaire pour exprimer ce qu'on a sur le cœur » disait-il. En hommage au personnage de «  Pip (en) » du roman Les Grandes Espérances de Charles Dickens10 : « Bip est un personnage intemporel, tout en étant proche de mes rêves d'enfants. Il se cogne à la vie qui est à la fois un grand cirque et un grand mystère, et j'aime à dire qu'il finit toujours vaincu, mais toujours vainqueur… Il est tout ensemble l'homme de la rue, un vagabond du quotidien et l'homme universel affrontant le tragi-comique de l'existence… Il est l'homme tout simplement, se montrant dans la nudité et la fragilité de son être. »11. Inspiré par « le Paris de l'après-guerre avec ses vieilles rues, ses becs de gaz jaunis par le temps et le cri des faubourgs »12, Marcel Marceau va enrichir son personnage en puisant expressivité des traits et personnification des caractères dans le théâtre no, le kabuki, les masques du théâtre oriental ou de la commedia dell'arte. En 1947, il fonde sa propre compagnie, la « Compagnie Marcel Marceau », et inscrit au répertoire des mimodrames et des pantomimes : Le Manteau, d'après Nicolas Gogol, Le Joueur de flûte, Exercices de style, Le Matador, Le Petit Cirque, Paris qui rit, Paris qui pleure. Marceau en Bip le Clown en 19Marcel Marceau a créé un personnage, mais aussi un style original, pratiqué par lui-même et par sa compagnie puis enseigné dans son école. Cependant, son ouverture d'esprit lui a fait rejoindre le Comité d'honneur du Festival Mimos, composé de Jean-Louis Barrault, Jacques Lecoq, Bob Wilson, Kazuo Ohno, pendant quelques années Maguy Marin puis Josef Nadj16. La réunion de ces personnalités exceptionnelles, très différentes l'une de l'autre, montrait que le mime avait atteint les sommets de la créativité17. Éternellement vêtu d'un pantalon blanc à pattes d’éléphant remonté au-dessus de la taille, d'une marinière, d'un caraco gris à gros boutons ronds et d'un chapeau claque rapiécé d'où émerge une fleur écarlate, avec son maquillage caractéristique (le visage enfariné avec du blanc qu'il fabrique lui-même, les sourcils en accent circonflexe, les yeux cerclés de noir et les lèvres de sang), le mime Marceau devient au fil des années un des artistes français les plus connus dans le monde. Ses tournées aux États-Unis créent une vraie révolution théâtrale dans les années 1950, où a beaucoup été évoqué, notamment, son mouvement de la « marche contre le vent », à l'origine du moonwalk de Michael Jackson. En France, il joue en 1975 dans la prestigieuse Cour d'honneur du palais des papes pour le Festival d'Avignon. En 1978, il crée à Paris une école internationale de mimodrame, située dans les sous-sols du théâtre de la Porte-Saint-Martin au no 17 rue René-Boulanger, avec la volonté et l’espoir farouche de réaliser une de ses aspirations les plus profondes : l’art comme point de rencontre de toutes les cultures où des élèves de plus de vingt nationalités, de 18 à 25 ans, se côtoient. Alors que cette école devait initialement voir le jour à New York, le maire de Paris Jacques Chirac et son conseiller culturel Marcel Landowski permettent son ouverture le 15 novembre 197818. Des cours de mime, de danse classique, d'acrobatie et d'art dramatique y sont dispensés par une douzaine de professeurs dont sa femme et disciple Anne Sicco. « Il ne suffit pas d’utiliser une technique, de sortir d’une école pour devenir artiste. Il faut créer un esprit et une méthode dramatique qui fassent évoluer l’élève19. » Vingt-sept ans plus tard, en 2005, l'école de Marcel Marceau ferme définitivement ses portes en raison des économies demandées par la mairie de Paris20, ayant pour projet la création d'une autre structure (qui deviendra l'ESAD en 2007 sous la direction de Jean-Claude Cotillard). Divorcé d'Huguette Mallet, avec qui il a deux fils, Michel et Baptiste, d'Ella Jaroszewicz et d'Anne Sicco, avec qui il a deux filles, Camille et Aurélia21, Marcel Marceau meurt le 22 septembre 2007 à Cahors (Lot). Il est inhumé à Paris au cimetière du Père-Lachaise (division 21)22. Marceau aurait voulu que sa maison à Berchères-sur-Vesgre (Eure et Loir ) devienne, après sa mort, un musée de mime. Après des années de procédure, le tribunal de commerce de Paris ordonne, en mai et novembre 2009, la vente aux enchères de tout son patrimoine artistique et de tous ses biens à l’hôtel Drouot23. Souhaitant que les objets lui ayant appartenu soient rassemblés dans un musée en France24, le ministère de la Culture et de la Communication a préempté certaines pièces désormais conservées à la Bibliothèque nationale de France : des archives, des dessins, des maquettes et des photographies, notamment un Bip sur scène25. D'autres ont été achetées par l'association Un musée pour le mime 26, créée par d'anciens élèves de Marceau, qui les propose sous forme d'expositions. Publications     Les Sept Péchés capitaux, Atelier Pons, 1965.     La Ballade de Paris et du Monde, Aline Elmayan Éditeur, 1968.     L'Histoire de Bip, l'École des loisirs, 1976.     Le Troisième Œil, Lithoprint Delcourt, 1981.     Pimporello, Belfond, 1987.     Bip piégé dans un livre, La Martinière, 2002. Filmographie     1946 : La Bague 27, court-métrage d'Alain Resnais     1949 : Mic Mac, de Jean Béranger[Lequel ?]     1954 : Pantomimes, court-métrage de Paul Paviot, « préface » de Jean Cocteau     1955 : Un jardin public, court-métrage de Paul Paviot     1959 : La Belle et l'Empereur (Die Schöne Lügnerin), d'Axel von Ambesser     1964 : Le Mime Marcel Marceau, moyen-métrage de Dominique Delouche     1966 : Le Monde visuel de Marcel Marceau, d'Annett Wolf     1968 : Barbarella, de Roger Vadim : le professeur Ping     1974 : The Art of silence, de John Barnes, pantomimes de Marcel Marceau, série de douze films, produit par Encyclopaedia Britannica     1974 : Shanks, de William Castle : Malcolm Shanks     1976 : La Dernière Folie de Mel Brooks (Silent Movie), film muet de Mel Brooks : lui-même (il prononce le seul mot du film : « non! »)     1979 : Les Îles, d'Iradj Azimi : le directeur de l'IGN     1992 : Marcel Marceau ou le poids de l'âme, d'Alain Dhénaut et Jean-Pierre Burgaud     1993 : Marcel Marceau en scène, d'Alain Dhénaut Théâtre Marceau en 1971. Marceau en 2004.     1946 : Baptiste    1946 : Baptiste, de Jacques Pr�
  • Type: Médailles françaises
  • Métal: Bronze

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