François ALBERT-BUISSON (1881-1961), Academia Francesa: Carta Firmada 1960

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Vendedor: tucholsklavier ✉️ (7.676) 100%, Ubicación del artículo: Berlin, DE, Realiza envíos a: WORLDWIDE, Número de artículo: 303315377303 François ALBERT-BUISSON (1881-1961), Academia Francesa: Carta Firmada 1960.

Sie bieten auf einen handschriftlichen, signierten Brief des französischen Richters, Politikers und Historikers sowie Mitglieds der Académie française François Albert-Buisson (1881-1961).

Geschrieben auf Briefpapier der Académie française; datiert le 22. déceembre 1960.

Unten mit Adressangabe " 105 rue Henri Martin" ; l t. dem International Who's who von 1957, S. 11, handelt es sich dabei um die Pariser Privatadresse von François Albert-Buisson.

Gerichtet an einen ungenannten "confrère et ami".

Umfang: eine von zwei Seiten beschrieben (20,8 x 13,6 cm).

Zustand: Linker Rand unregelmäßig; Papier etwas knittrig. Bitte be achten Sie auch die Bilder am Ende der Artikelbeschreibung!

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Über François Albert-Buisson (Quelle: wikipedia):

François Albert-Buisson (* 3. Mai 1881 in Issoire, Département Puy-de-Dôme; † 21. Mai 1961 in Aix-en-Provence) war ein französischer Richter, Politiker und Historiker sowie Mitglied der Académie française.

Leben: Der Sohn eines Schuhfabrikanten studierte nach dem Schulbesuch zuerst Pharmazie und beendete dieses Studium mit einem Doktorgrad. Ein weiteres Studium der Rechtswissenschaften schloss er mit einem Doktor der Rechte ab und gründete anschließend das pharmazeutische Laboratorium Théraplix.

Danach wurde er 1913 Richter am Handelsgericht (Tribunal de Commerce) von Paris, dessen Präsident er von 1930 bis 1934 war. Zwischenzeitlich war er auch von Juni 1924 bis April 1925 Kabinettsdirektor von Finanzminister Étienne Clémentel. Im Anschluss wurde er Bürgermeister seiner Geburtsstadt Issoire und bekleidete dieses Amt bis 1941.

Außerdem war er Manager zahlreicher Industrieunternehmen und Banken sowie Präsident der Nationalen Außenhandelsbank Banque nationale française pour le Commerce extérieur (BNFCE). 1932 war er Gründungspräsident der Handels- und Industriebank Banque nationale pour le commerce et l'industrie (BNCI) sowie später von 1936 bis 1959 Vorsitzender des Verwaltungsrates des Pharma- und Chemiekonzerns Rhône-Poulenc. Daneben wurde er 1936 Mitglied der Académie des sciences morales et politiques, deren Ständiger Sekretär er 1951 wurde.

Zwischen Mai 1940 und 1944 war er darüber hinaus Senator für das Département Puy-de-Dôme.

1953 ernannte ihn Erziehungsminister André Marie zum Kanzler und Sekretär der Zentralen Verwaltungskommission des Institut de France. Diese Ämter bekleidete er bis zu seinem Tode. Darüber hinaus wurde er am 3. März 1955 als Nachfolger von Émile Mâle zum Mitglied der Académie française gewählt und übernahm in dieser bis zu seinem Tode den zweiten Sitz (Fauteuil 2). Mit ihm zusammen wurden Jean Cocteau und Daniel-Rops zu Mitgliedern der Akademie gewählt.

1961 wurde ihm kurz vor seinem Tode das Großkreuz der Ehrenlegion verliehen.

Veröffentlichungen

Neben seinen Tätigkeiten als Richter und Wirtschaftsmanager verfasste er verschiedene rechts- und wirtschaftswissenschaftliche Bücher, aber auch zahlreiche historische Monografien über Antoine Duprat, Michel de L’Hospital und Jean-François Paul de Gondi, den Kardinal de Retz. Zu seinen Veröffentlichungen gehören:

Le problème des poudres, au point de vue technique, économique et national, 1913

Le chèque et sa fonction économique, 1923

La crise économique, 1926.

De la validité des clauses tendant à parer, dans les contrats, aux inconvénients de l’instabilité monétaire, 1926

Le nouveau régime de l’administration municipale, 1926

De la nature juridique des groupements d’obligataires et de la validité de leurs actes, 1927

La transmission des “billets” de fonds et le privilège du vendeur, 1928

Les groupements d’obligataires. Étude juridique, économique et législative, 1930

La Morale et les Affaires, 1931

Le statut de la faillite, 1932

La déviation du droit en période de crise économique, 1932

Dynamisme économique et stabilité des lois, 1933

La sécurité juridique, condition de la prospérité économique, 1934

Le statut légal du fonds de commerce, 1934

Le chancelier Antoine Duprat, 1935

Michel de l’Hospital, 1950

Le cardinal de Retz, 1955

Les Quarante au temps des lumières, 1956

François Albert-Buisson, né le 3 mai 1881 à Issoire, mort le 21 mai 1961 à Aix-en-Provence, fut tour à tour ou simultanément entrepreneur, industriel, magistrat consulaire, économiste, homme politique, historien français, membre de l'Académie française, et premier Chancelier de l'Institut [archive], poste créé pour lui en 1952.

Parcours: Fils d'artisans et petit-fils de paysans originaires d'Issoire, il part pour Paris après ses études secondaires et s'inscrit successivement à la faculté de pharmacie puis à celle de droit. Docteur en pharmacie, il obtient le prix Jules-Lefort de l'Académie française. Combattant de la Première Guerre mondiale de 1914 à 1916, il soutient ensuite une thèse de droit sur Le chèque et sa fonction économique qui remporte le prix des thèses.

Nommé juge suppléant au tribunal de commerce de la Seine en 1913, il en devient président (1930-1934). Durant sa présidence, il y développe les conciliations, obtient des pouvoirs publics l'éligibilité des femmes à la charge de juge consulaire et la création du port de la robe rouge pour le Président du tribunal de commerce lors des audiences solennelles, usage devenu pérenne à Paris.

Créateur du laboratoire pharmaceutique Théraplix (via l'entreprise Chimie et Atomistique), il est administrateur dans plusieurs entreprises industrielles et bancaires, devenant notamment président de la Banque nationale française pour le Commerce extérieur (BNFCE) et président fondateur de la BNCI, mais surtout président du conseil d'administration de Rhône-Poulenc de 19351 à 1959, après avoir été administrateur de Poulenc frères (1923) puis de Rhône-Poulenc (1928).

Directeur de cabinet d'Étienne Clémentel au ministère des Finances pendant le Cartel des Gauches en 1924-1925, il participe à plusieurs conférences économiques internationales, à Londres en août 1924 comme chef de la délégation financière, à Paris en janvier 1925, en 1926 comme délégué à la conférence économique franco-allemande.

Élu dans la foulée de la victoire du Cartel, en 1925, maire d'Issoire, il occupe cette fonction jusqu'en 1941. Élu conseiller général du canton d'Issoire le 3 mai 1928, il devient vice-président du Conseil général du Puy-de-Dôme.

Entré en janvier 1926 dans le conseil directeur du journal Le Moniteur du Puy-de-Dôme avant son rachat en 1927 par Pierre Laval, il se rapproche de ce dernier, l'accompagnant quand, Président du Conseil, il fait un voyage aux États-Unis en 1931. Candidat de la Fédération républicaine, radicale et radicale-socialiste du département lors des sénatorielles partielles du 8 août 1937, il est élu au premier tour de scrutin, avec le soutien de Laval, par 603 voix contre 394 à son principal adversaire, Georges Moreau, sur 1 105 suffrages exprimés, en remplacement de Malsang, sénateur radical du Puy-de-Dôme décédé le 29 mai. Il occupe ces fonctions officiellement jusqu'en 1944. Lors de l'assemblée générale du 11 juin 1939, il est élu président d'honneur de la Fédération républicaine, radicale et radicale-socialiste du Puy-de-Dôme.

Siégeant au groupe de la Gauche démocratique, il appartient à la commission de la législation civile et criminelle et à celle des affaires étrangères, où il apporte ses compétences en matière de droit et d'économie politique. Le 10 juillet 1940, il vote les pleins pouvoirs à Pétain.

Sous le régime de Vichy, il se démet de sa fonction de maire (1941), mais préside de 1941 à 1942 la Commission administrative du Puy-de-Dôme. Puis il est nommé, avec Jacques Bardoux, vice-président du Conseil départemental du Puy-de-Dôme, présidé par le Dr Raymond Grasset, lui aussi radical et ancien fidèle de Clémentel à Riom lié à Laval.

A la Libération, le Jury d'Honneur présidé par René Cassin le relève de son inéligibilité « pour avoir participé à la lutte contre l'ennemi ou l'usurpateur ». La décision du 9 décembre 1945 publiée au JO du 28 décembre 1945 relève en effet « qu'il est établi que l'intéressé s'est employé, avec succès, à protéger contre l'emprise de l'ennemi une importante firme industrielle dont la sauvegarde était d'un grand intérêt pour l'économie française, que sur ses instructions des fournitures diverses et fréquentes ont été faites aux groupes de la Résistance, qu'il a aidé, personnellement, l'action de réseaux de renseignements, et protégé de nombreux réfractaires, qu'enfin, il a, en diverses circonstances, manifesté son opposition politique à l'usurpateur »2.

En particulier, dès 1942, son appartement personnel servait de lieux de réunion régulier au réseau Vaudevire dirigé entre autres par le capitaine Jean-Baptiste Biaggi, membre avec Alain Griotteray du réseau Orion3.

Abandonnant ensuite toute vie politique, il se consacre alors aux affaires privées et poursuit une carrière d'économiste et d'historien. Élu à l'Académie des sciences morales et politiques en 1936, il y occupe pendant cinq ans, à partir de 1951, les fonctions de secrétaire perpétuel. De même, il représente à partir de 1948 l'Institut de France à la délégation française de l'UNESCO. En 1953, les cinq académies de l'Institut créent en son honneur le poste de Chancelier, dont il est le premier dignitaire. Enfin, le 3 mars 1955, il est élu à l'Académie française, le même jour que Jean Cocteau et Daniel-Rops.

Il est élevé à la dignité de Grand Croix de la Légion d'Honneur par le Général de Gaulle le 17 mai 19604.

Il meurt subitement à Aix-en-Provence, où il se trouvait depuis une semaine, le 21 mai 1961, à l'âge de 80 ans. Il est enterré au cimetière de Passy. Son épouse est décédée en 1942.

Distinctions

Membre de l'Académie des sciences morales et politiques (1936)

Secrétaire perpétuel de l'Académie des sciences morales et politiques (1951)

Chancelier de l'Institut de France (1953)

Membre de l'Académie française (1955)

Grand-croix de la Légion d'honneur (1961)

Grand officier de la Couronne royale d'Italie

Grand officier de l'Ordre de Léopold

Chevalier de l'Ordre du Saint-Sépulcre

Œuvres

Droit commercial et économie politique

Le Problème des poudres, au point de vue technique, économique et national (1913)

Le Chèque et sa fonction économique (1923)

Les Crises économiques (1926)

De la validité des clauses tendant à parer, dans les contrats, aux inconvénients de l'instabilité monétaire (1926)

Le Nouveau Régime de l'administration municipale (1926)

De la nature juridique des groupements d’obligataires et de la validité de leurs actes (1927)

La transmission des « billets » de fonds et le privilège du vendeur (1928)

Les Groupements d'obligataires. Étude juridique, économique et législative (1930)

La Morale et les Affaires (1931)

Le Statut de la faillite (1932)

La Déviation du droit en période de crise économique (1932)

Dynamisme économique et stabilité des lois (1933)

La Sécurité juridique, condition de la prospérité économique (1934)

Le Statut légal des fonds de commerce (1934)

Histoire

Le Chancelier Antoine Duprat (1935)

Michel de l'Hospital (1950)

Le Cardinal de Retz (1955)

Les Quarante au temps des lumières (1956)

  • Condition: Linker Rand unregelmäßig; Papier etwas knittrig. Bitte beachten Sie auch die Bilder am Ende der Artikelbeschreibung!
  • Autor: François Albert-Buisson
  • Material: Papier
  • Erscheinungsort: Paris
  • Region: Europa
  • Eigenschaften: Erstausgabe, Signiert
  • Produktart: Handgeschriebenes Manuskript
  • Original/Faksimile: Original
  • Erscheinungsjahr: 1960
  • Genre: Geschichte
  • Sprache: Französisch

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